
Je m’appelle Dania et ma mission est la transmission pédagogique.
Je suis…
- Diplômée d’un master recherche et actuellement doctorante en littérature américaine du XIXe siècle.
- Professeure certifiée d’Anglais
- Pédagogue
- Enseignante holistique
- Médium et Canal
et également…
- Verseau, ascendant Taureau, signe lunaire en Scorpion
- Une chercheuse de vérité, passionnée et perfectionniste
- Douce, à l’écoute et exigeante
- Une éternelle étudiante
- En chemin
Dania est le prénom que j’ai choisi pour cette incarnation. Un adjectif arabe qui signifie « Proche du Paradis », ou comme mon père aime le simplifier « Proche du Cœur ». Ce qui est rigolo c’est que des anagrammes de mon prénom sont Naiad (naïades) et Diana, ce qui me relie depuis toujours à l’Eau et à la Lune.
« Intello » ou l’éternelle étudiante
Au collège, puis au lycée, cet épithète m’a collé à la peau proféré comme une insulte. Comportement que je n’ai jamais compris. Après tout, qu’y avait-il de mal, d’incompréhensible, de répulsif à l’idée qu’un être puisse se lier de passion, d’Amour, pour le savoir et l’inspiration, l’Art de la poétique, la rhétorique, la didactique, la recherche..?
Mon chemin a toujours été celui de l’apprenti, de la chercheuse. La soif de connaissance s’est exprimée très jeune chez moi puisqu’à 18 mois je pouvais reconnaître n’importe quelle lettre de l’alphabet. J’ai eu le parcours de la bonne élève, à la fois brillante, et effacée, frustrée dans sa créativité, son atypie.
Il m’a fallu apprendre à laisser la chercheuse plonger dans les livres sans que mon mental ne se noie dans la cogitation excessive. Il m’a fallu accepter que je ne pouvais pas tout lire, tout savoir, même en tant que spécialiste. Il m’a fallu apprendre à me laisser guidée par mon intuition au sein d’un exercice d’écriture scientifique et formatée.
Mais il m’a également fallu cesser d’écouter la dissonance extérieure qui nourrit l’idée que le savoir livresque serait erroné ou uniquement mental. Cesser de considérer que la clairconnaissance à laquelle je peux avoir accès est antinomique d’une recherche livresque et de la rédaction d’un écrit codifié.
Ceci m’a amenée à observer et à constater l’évolution de mon rapport à l’intellect à travers le temps et les expériences. D’abord expérimenté sous sa forme livresque et scolaire, j’ai appris à recevoir et percevoir le savoir dans sa dimension inspirée, élargissant ainsi les horizons de mon mental inférieur en l’ouvrant sur les contrées inexplorées du mental supérieur. Puis lorsque je me suis enfermée dans le rejet du savoir livresque, l’Univers m’a montré à plusieurs reprises que l’inspiration s’incarne, se matérialise, grâce à un socle de fondations de savoirs ancestraux que nous sommes amenés à lire depuis longtemps maintenant. Le savoir livresque permet d’ancrer l’inspiration au sein d’un espace-temps où l’humain peut reconnaître et conjuguer sa sagesse au passé, présent et futur.
Alors, pourquoi s’enfermer dans le rejet du savoir livresque? Pourquoi refuser d’étudier et de mener son enquête de chercheur éclairé et inspiré en suivant les élans de notre curiosité?
De peur de s’imprégner de mensonges? Mais n’est-ce pas ainsi que l’on apprend à exercer son discernement?
De peur de se rendre compte que l’on ne sait pas tout ? Mais n’est-ce pas ainsi que nous développons notre humilité?
« Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien. » Cette maxime anime mon quotidien. Merci Socrate.
Aujourd’hui, je reprends l’épithète sous sa forme d’origine. Oui, je suis une intellectuelle. Tout comme j’étudie la littérature américaine du XIXe siècle, j’étudie en profondeur la science initiatique au sein de différentes traditions.
Pour ma part, intuition et inspiration ne s’opposent pas à la recherche ou à l’étude. Elles sont complémentaires.
Mes fondations se consolident à mesure de mon apprentissage. Et plus je sais, et plus je ne sais rien.
Enseignante de Vocation
La transmission pédagogique et vibratoire est ma mission. Que ce soit au sein d’un établissement scolaire, dans mes relations humaines, ou au sein de Les Mûris, je suis une enseignante au service du vivant et ce dans le respect du libre arbitre et de l’autonomie de tout un chacun.
Expérience
Déjà adolescente, j’étais mue par l’envie de transmettre, si bien que j’ai donné des cours particuliers et suis tombée amoureuse de ce moment bascule où le regard d’une personne qui était dans l’incompréhension s’illumine d’un coup en signe de compréhension fulgurante.
Après l’obtention d’un Bac S, majoritairement grâce à mon affinité pour les langues et l’analyse littéraire, j’ai opté pour une 1ere année d’études de Médecine, ce qui s’est soldé par un échec. Ma fascination pour les sciences, et pour le corps humain était bien réelle, mais ma passion et le fonctionnement même de mon intellect m’amène vers la compréhension par l’intuition et l’imagination, ce qui n’avait pas réellement sa place en médecine.
Cet échec m’a rappelé mes premières amours: l’anglais et la littérature. Alors je me suis inscrite en faculté de Lettres et Langues et Civilisations Etrangères pour faire des études d’Anglais dans l’optique d’un jour devenir Enseignante-chercheuse en littérature américaine du XIXe siècle. J’ai obtenu ma Licence en 2013, puis mon Master Recherche en 2015.
Aux USA
J’ai décroché un poste d’assistante de Français aux Etats-Unis à l’Université de Bucknell à Lewisburg en Pennsylvanie lors de ma 3e année de Licence, dans le cadre d’un échange proposé par l’Université de Tours. A 21 ans, j’enseignais à des étudiants en 1ere ou 2e année de faculté. Notre différence d’âge n’étant que symbolique, il m’a fallu apprendre le positionnement et l’autorité juste assez rapidement. Ceci était une expérience très enrichissante car j’avais à la fois le rôle d’enseignante et le statut d’étudiante puisque je suivais des cours à Bucknell qui me permettrait de valider des acquis au sein de l’Université de Tours.
Mon exaltation pour l’enseignement et mon amour pour la découverte de nouveaux lieux et cultures, m’a amené à postuler à second échange en 2e année de Master. J’ai décroché un 2e poste d’assistante de Français, cette fois-ci à Bowling Green State University en Ohio. Cette année universitaire a été magique en terme de rencontres et d’ouverture d’horizons. J’en ai appris davantage sur mes capacités pédagogiques et j’ai rencontré des personnes au grand cœur avec des parcours divers et variés qui ont fait évolué ma perception de la liberté, de l’équité et de la tolérance.
En France
Lorsque je suis revenue en France, j’ai saisi l’opportunité d’un mi-temps en tant que surveillante d’internat en lycée qui me permette à la fois de suivre une formation de préparation au concours d’Agrégation sans trop de difficulté et de me mettre petit à petit sur la voie de l’indépendance financière. Entre 2015 et 2018, j’ai tenté l’agrégation 3 fois, sans jamais être parvenue à franchir le cap des écrits dont le formatage est plus que frustrant pour moi.
Lorsqu’en 2017, je n’ai pas été admissible aux épreuves orales pour la deuxième fois, et après 2 burn-out (des suites des épreuves écrites) j’ai décidé au moments des inscriptions aux concours de m’inscrire à l’Agregation mais également au CAPES. Je savais qu’obtenir le CAPES m’exposerait à l’enseignement au collège, ce qui n’était pas mon souhait. Ce n’est déjà pas simple de parvenir à aborder un peu l’analyse de littérature anglophone en lycée, alors en collège, c’est tout simplement inconcevable. A ma grande surprise, l’Univers m’a dit « non » par 3 fois pour l’Agregation que j’avais assidûment préparé, mais j’ai obtenu mon CAPES en 2018 sans préparation approfondie.
L’obtention de mon CAPES a été un véritable coup de massue. L’enseignement est ma vocation, c’est ce qui me meut au plus profond de moi. Mais enseigner dans le contexte qu’est celui de l’Education Nationale, les B A ba de la grammaire anglaise alors que je me spécialise en analyse littéraire? Où résiderait ma motivation, mon enthousiasme, ma passion? J’ai donc demandé un an de report de stage pour me consacrer au lancement de mes études de doctorat.
En 2019, pour mon stage de titularisation au sein de l’EN, j’ai été affectée dans un collège rural en Touraine. L’ambiance au collège était très conviviale ce qui m’a beaucoup soulagé. J’ai appris à redécouvrir ma pédagogie au contact d’élèves bien plus jeunes que ceux que j’avais eu auparavant et dont l’autonomie était pour ainsi dire inexistante puisque mes élèves étaient en 5e et 4e.
Il a fallu que j’apprenne à adapter mes attentes au niveau de mes élèves, chose qui n’était pas simple car je jonglais constamment entre les rudiments de la langue anglaise dans le cadre de l’enseignement, et la lecture d’articles académiques spécialisés dans le cadre de mon doctorat. Au bout de 4 mois d’enseignement, il m’est apparu évident que même si je suis techniquement capable d’enseigner en collège, je suis misérable face à un public qui n’est pas autonome. J’ai été titularisée en 2020 suite à 3 inspections positives et élogieuses.
A ma grande surprise, et pour mon plus grand bonheur, l’Univers m’a fait le cadeau d’être affectée en lycée pour la rentrée 2020 et ce dans ma ville de résidence, ce qui n’arrive pour ainsi dire jamais aux jeunes professeurs. J’étais tellement abasourdie que j’ai cru pendant quelques heures que mon poste était un poste de remplaçante. J’ai donc appelé le secrétariat de la direction de l’établissement qui m’a bien expliqué que c’était mon poste fixe. Poste que je tiens encore aujourd’hui.
Enseigner au lycée n’a jamais été mon but en soi, puisque ma passion en littérature anglophone dépasse ce qui trouve sa place dans les différents programmes de lycée. Cependant, j’ai appris rapidement que mon rôle de pédagogue, accompagnant des élèves déjà un peu plus autonomes au quotidien, est avant tout un rôle humain et non de transmettrice de savoir.
Les élèves que j’ai en face de moi ne connaissent pas ou très peu leurs talents, leurs faiblesses, leurs capacités et leur pouvoir d’apprentis-sages. Ils sont majoritairement intuitifs et pourtant s’en remettent constamment à l’extérieur de par une passivité ancrée en eux depuis longtemps maintenant et une résistance profonde au processus d’intégration de toute information. Alors si je peux les aider ne serait-ce qu’à déconstruire leurs blocages face à des « je suis nul », « je n’y arriverai jamais », pour ma part j’aurais rempli ma mission auprès d’eux, et ce au sein d’un système qui va mal, qui s’effrite.
Au sein de Les Mûris
Lorsque j’ai créé Les Mûris en 2021, mon but était de mettre ma médiumnité au service du Divin à travers l’aide des humains et du vivant en général. Je suis médium depuis enfant et j’ai vécu des avancées importantes dans l’ouverture de mon canal en 2016-2017, en 2020 ainsi qu’en fin 2022-début 2023.
Ce qui est au centre de ma démarche depuis le début de cette aventure, c’est la transmission de messages, d’outils et de connaissances qui permettent à chacun de vivre une Spiritualité Pragmatique.
La Pédagogie au Centre de la Spiritualité
Comment mûrir et grandir à Soi, si l’on n’identifie pas nos résistances à l’apprentissage ? Si l’on ne sait pas être autonome et responsable? Si la transmission de connaissance se passe presque totalement de pratique concrète et simple au quotidien ? Si l’on se sent soumis à la vision de l’enseignant lors de l’appropriation de connaissances?
Après avoir navigué le milieu spiritualiste pendant presque 2 années, et grâce à mon expérience au sein de l’Education Nationale, je constate un manque de pédagogie dans la transmission de la Science Initiatique.
Nous vivons une ère de développement technologique qui conditionne notre cerveau, de par son exposition prolongée et récurrente aux écrans, à associer le format vidéo à un temps de détente. Ceci implique que le visionnage de vidéos aussi éducatives et informatives soient-elles, se fait presqu’automatiquement en écoute passive pour nous. Il nous revient donc de mettre en place des stratégies pour entreprendre une écoute active si l’on souhaite s’approprier pleinement le contenu d’un format audio-visuel.
Par là, je n’entends pas:
- simplement prendre des notes lors du visionnage d’une vidéo. Cela peut en effet être une aide, un tremplin vers l’intégration de l’information mais encore faut-il reconnaître par quels aspects l’information vient nourrir notre être et nous aider au quotidien dans notre cheminement individuel.
- avoir accès à un outil qui se base sur des définitions complexes de concepts ésotériques et/ou psychologiques. En effet les définitions permettent de construire des fondations pour comprendre le référentiel dans lequel l’information se place, cependant, un glossaire ne contribue pas à la mise en pratique et nourrit souvent un réflexe d’apprentissage par le par coeur.
- apprendre par coeur des concepts, notions, pratiques. Tout simplement car le par coeur ne fonctionne que lorsque la passion de notre flamme intérieure y est associée (et dans ce cas on ne se rend même pas compte que nous faisons du par coeur), ou que nous avons expérimenté l’information à travers une situation vécue.
A contrario, ce que je suggère consiste en:
- l’identification et la compréhension de notre propre profil d’apprenant. Ceci implique de connaître les méthodes d’apprentissage qui fonctionnent pour soi, d’identifier les blocages et traumatismes que nous portons en nous en lien avec notre capacité d’apprentissage et de développer l’indulgence et la patience envers nous-mêmes. C’est ainsi qu’on apprend à apprendre.
- la reconnaissance et le développement de notre capacité à l’autonomie dans l’apprentissage. En effet, ce n’est pas parce qu’un savoir est dispensé par un enseignant, que cela veut dire qu’il ou elle détient tout ce qu’il y a à savoir. Cela ne veut pas dire non plus qu’il revient à l’enseignant de fournir les efforts de transmission, vulgarisation et reformulation et ce jusqu’à ce que nous intégrions l’information sans fournir d’effort. Les apprentis que nous sommes ont des connaissances à transmettre à leurs enseignants. Les apprentis que nous sommes sont capables de reconnaître que la passivité ne permet pas de construire des fondations solides pour avancer sur notre chemin.
- l’intégration d’exercices pratiques basés sur l’expérience au sein de la matière pour intégrer les concepts les plus éthérés de la Science Initiatique. Oui, la Science Initiatique offre un champ des possibles infini et ce en se basant sur des concepts qu’il nous est parfois difficile d’intégrer pleinement. Or, vivre une Spiritualite Pragmatique implique de prendre ces enseignements éthérés et de les incarner dans le quotidien qu’il nous est offert de vivre sur notre belle planète. C’est uniquement en observant les corrélats entre les connaissances initiatiques et nos vies physiques, émotionnelles, mentales, énergétiques, subtiles que nous pourrons faire le pont entre Ciel et Terre. Partir de nos sens, nos sensations, nos mémoires, en conscientisant les émotions et pensées qui nous traversent, à l’aide de principes initiatiques, voilà ce que vous proposent les formations et accompagnements au sein de Les Mûris.
Ainsi, au sein de Les Mûris, je me positionne en tant qu’enseignante holistique. J’utilise la totalité de ce que j’ai appris en termes de pédagogie, de construction de cours et de réalisation de contenu éducatif, pour remettre la pédagogie au service d’une Spiritualité Pragmatique. Je mets les facultés analytiques et synthétiques de mon mental inférieur au service de l’intuition et de l’inspiration de mon mental supérieur. Ainsi, je sors de l’opposition de ces deux polarités et allie pédagogie, médiumnité et channeling pour vous partager des enseignements à la fois concrets et subtils.
Pourquoi Les Mûris ?
Pour en savoir plus: https://les-muris.com/pourquoi-les-muris/
D’après les planètes
Signe Solaire: Verseau
En tant que Verseau, ce qui me pousse dans mes retranchements par-dessus tout, c’est l’injustice et le manque de liberté. J’ai donc vécu beaucoup de situations qui m’ont amenée à comprendre comment maîtriser la révolutionnaire en moi. Je suis également une intellectuelle, un rat de bibliothèque, le nez constamment dans les bouquins. Je rédige une thèse sur Edgar Allan Poe et je nourris mon intellect au quotidien de science initiatique.
Le Verseau est aussi avant-gardiste et amène le changement avec lui. Ceci m’a valu des amitiés assez compliquées puisque j’ai vite compris que je renvoie les gens vers leurs limites et même si cela est fait avec douceur, tout le monde n’est pas dans l’acceptation de ça. J’ai donc appris la liberté dans les relations en acceptant que les personnes entrent et sortent de nos vies à leur rythme, à leur guise, et que cela est juste. J’ai aussi compris que j’accompagnerai les gens d’un point A à un point B, tel un pont.
Ascendant: Taureau
En tant que Taureau (ascendant), la procrastination est un de mes obstacles récurrents. Eh oui, le taureau, c’est la force de l’inertie. Mais il est aussi lié à la planète Venus et donc à la sensualité et l’Amour inconditionnel. Déterminée, au sang chaud, et sensuelle sont des caractéristiques que j’apprends à assumer au quotidien. Je peux avoir du mal à me lancer, mais une fois lancée, rien ne peut m’arrêter.
Le Taureau me rappelle d’aimer mon corps à l’image de l’amour dispensé par Dame Nature dans chacune de ses créatures. Complexes, insécurités, envies de cacher mes formes, sexualité non assumée, puis débordante, puis sacrée, tout ça fait partie de mon chemin.
Signe Lunaire: Scorpion
Enfin en tant que Scorpion (lunaire), j’ai un rapport des plus étroits avec l’ombre, le mystère, la mort, la nuit, et la sexualité. Et tout cela est assez présent puisque le signe lunaire régit l’inconscient. J’ai une âme profondément gothico-romantique, qui aime les films d’horreur, la littérature gothique, écouter du métal, porter des tenues gothiques, victoriennes, et tout ça en conscience.
Grâce à la littérature gothique et au fait d’avoir vécu dans un pays constamment menacé par la guerre , je me suis retrouvée confrontée à la peur de mourir dès mon plus jeune âge. J’ai appris à dépasser la peur de la peur, et à plonger dans mes abysses sans appréhension. J’ai compris jeune que tout ce dont j’avais le plus peur était exactement ce que j’avais besoin de vivre.
Le Scorpion est un signe d’eau, émotif, dont les émotions peuvent devenir paralysantes et destructrices mais c’est aussi un signe amené à accueillir la mort-renaissance au quotidien. J’ai donc vécu beaucoup de souffrance émotionnelle, surtout en amour.
Complémentarité des Signes
La combinaison Taureau-Scorpion qui sont des signes complémentaires me permet d’accueillir mes facettes les plus sombres, les plus sauvages et de lier cela au sacré sans y voir d’opposition.
Le Verseau lui est complémentaire avec le signe du Lion. Là où le Verseau est très axé sur le collectif au point de parfois s’oublier, il doit apprendre à ne pas s’éclipser, à s’autoriser à rayonner sans s’en excuser, sans avoir peur de prendre trop de place. Dans mon cas, c’est un apprentissage de tous les jours.
Alors, je suis enseignante holistique, medium, canal, chanteuse, écrivaine, élève de la Vie, passeuse d’âme pour les vivants et encore tant de mots.
Voilà, je suis Dania.